Le 11 novembre 1918, à 5h20 dans l’Oise, était signé l’Armistice mettant fin à la Grande Guerre de 14-18.
Les « Croix de Bois », les « gueules cassées », les « générations sacrifiées » : la Première Guerre mondiale aura des conséquences dramatiques et durables.
En tout, « la Der des Ders » aura fait plus de 9 millions de morts, 6,5 millions de blessés, 6 millions d’orphelins et 3,5 millions de veuves.
Le devoir de mémoire est immuable. Peu importe le temps, peu importe le contexte, nous devons nous souvenir de ces femmes et ces hommes, certains encore que des enfants, qui ont donné jusqu’à leur vie pour que vive la France. Leur sacrifice ne doit jamais être oublié. Leur histoire, à jamais liée à celle de la France, doit toujours être racontée, toujours être transmise, aux générations qui se succèdent.
C’est à la gare puis à la Stèle commémorative Gontran Labregère, dans le quartier Saint-Cybard et enfin au monument aux Morts de Beaulieu d’Angoulême que j’étais ce 11 novembre pour leur rendre hommage.
Devoir de mémoire.