Depuis plusieurs semaines, le coronavirus, dit aussi COVID-19, frappe de très nombreux pays au niveau mondial. La France n’est malheureusement pas épargnée. C’est la crise sanitaire la plus grave que notre pays a à traverser depuis un siècle.
La santé des Français est et restera la priorité absolue et notre modèle social unique permettra de répondre à cette priorité. C’est justement lors des moments de crise sanitaire comme celui que nous connaissons aujourd’hui, que toute la force de notre système de santé prend sens : « la santé gratuite sans condition de revenus, de parcours ou de profession, l’État-providence ne sont pas des coûts ou des charges mais des biens précieux, des atouts indispensables quand le destin frappe ».
Des mesures exceptionnelles ont été décidées par le président de la République et le Gouvernement, en concertation avec le comité scientifique mis spécialement en place pour répondre à cette crise sanitaire. Elles reposent sur trois principes :
Enfin, il est essentiel et primordial que chacun respecte les gestes barrières simples du quotidien. Le président de la République l’a expliqué, nous devons faire preuve de responsabilité et de solidarité nationale : « La France unie, c’est notre meilleur atout. Nous tiendrons ensemble. »
La crise sanitaire que nous traversons changera certainement en profondeur notre société mais nous ne devons pas nous arrêter de vivre pour autant. Il est important que chacun puisse s’exprimer. Le plus grand mal collectivement pour notre démocratie, ce serait l’abstention. Tout est mis en œuvre par les maires et les services de l’État pour que la vie démocratique et institutionnelle continue et que les élections puissent se tenir dans ce contexte particulier.
Face à cette crise, nous devons jouer collectif et nous faire confiance.
Faire confiance aux professionnels de santé qui sont déjà fortement mobilisés et font un travail remarquable au quotidien.
Faire confiance à nos institutions nationales et européennes car c’est ensemble que nous arriverons à trouver une solution ; un virus n’a pas de passeport.
Et, enfin, nous faire confiance à nous-même, en tant que société, dans notre capacité à faire front, ensemble.